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Thursday, 18 July 2013

UNESCO non-discrimination à l'encontre médecine traditionnelle

                     Questions fondamentales
                        
Non-discrimination

 Non-discrimination à l'encontre médecine traditionnelle consiste à reconnaître et respecter les droits detradipraticiens.
Dans de nombreux domaines, ils sont le premier port d'escale pour les populations locales, soit parcede la tradition culturelle ou parce que ces communautés n'ont pas accès aux soins de santé modernes. Cependant,il est faux d'invoquer la protection de la tradition et de l'identité culturelle, qui est un droit de facto, afin de prévenirindividus de recevoir des informations exactes et pertinentes sur les causes de leurs maladies etobtenir un traitement efficace. Il faut à nouveau souligner que les gens ont le droit de haute qualitésoins de santé, indépendamment de la médecine auxquels ils sont confrontés.Dans le cas de pratiques spirituelles traditionnelles, la situation est plus compliquée, car ils sont basés surun lien symbolique qui est considéré comme un élément essentiel de la relation thérapeutique elle-même. Cependant,le principe de non-discrimination n'autorise pas les praticiens à prévenir les patients recevant vitaltraitement en prétendant avoir un remède miracle efficace ou même pour les maladies aiguës ou graves oufaire des diagnostics spirituelles fondées sur des croyances locales pour persuader les patients de ne pas subir un traitement recommandée. La responsabilité médicale exigée des praticiens de la médecine moderne s'applique également aux praticiens traditionnels.Les meilleures installations pour le diagnostic, le traitement et la prévention doivent être disponibles pour tous les patients danstous les pays, quel que soit le contexte Oural culte. Il serait inacceptable de laisser une santé à deux vitessessystème à développer - une pour les riches et une autre avec un accès plus facile et moins coûteux pour les bas-revenus des groupes sociaux - car ce serait d'approuver la discrimination. Médecine traditionnelle etla médecine moderne peut coexister si les ponts sont construits entre eux. Si une thérapie traditionnelle a prouvéefficace, il doit être accessible à tous. Mais le respect de la diversité culturelle et le fait que, dansde nombreux cas, les pauvres ne cherchent pas ce qu'ils ignorent l'existence ne peuvent pas servir d'excuses pourdesserrage ou de larguer les amarres les liens de la justice et de solidarité dans un monde où l'espérance de vie est plusde 80 ans pour certains et moins de 50 ans pour les autres. Nos systèmes de santé publique sont chargés de s'assurer que le droit à des soins de qualité est respectée.

http://unesdoc.unesco.org/images/0021/002174/217457e.pdf

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